D’entrepreneur dans la food à PDG de Flunch, il n’y avait qu’un pas que Baptiste Bayart a franchi il y a plus d’un an. Appelé à la rescousse pour redresser une société en perdition, il a mis toute son énergie et ses 1 000 idées à la minute, au service de la chaîne. Résultat ? Un tout nouveau concept destiné à redonner un avenir à Flunch.
Propos recueillis par Pascale Benhaïem-Komlos
« Offrons une cuisine populaire au sens noble, au meilleur rapport prix/plaisir »
Baptiste Bayart
Vous avez toujours eu la fibre entrepreneuriale ?
Baptiste Bayart : Oui, après mes études à Lille à l’Espeme, une école de commerce, j’ai assez vite commencé à travailler 
dans la food. Après un premier job de commercial et un second dans une boîte de pizzas fraîches, j’ai monté mon entreprise B Food ainsi qu’une petite boîte de négoce avec Veronica Gomez qui par la suite deviendra mon associée sur Foodiz. On a commencé à faire des plats préparés surgelés indiens et thaïs pour Carrefour. À 25 ans, j’ai aussi lancé une marque de burgers frais, c’était passionnant. Ensuite à 29 ans, le patron de la boîte de pizzas qui m’employait depuis mes débuts et qui avait aussi
