Avec 9 500 restaurants, la cuisine chinoise domine le paysage de la gastronomie française, mais peine parfois à se réinventer. Produit phare de la gastronomie japonaise, le sushi a peut-être atteint sa maturité et le développement de la cuisine nipponne passe aujourd’hui par l’art culinaire fusion. Enfin, de nouvelles saveurs déferlent sur le territoire. K-food, recettes vietnamiennes ou thaïes… Les mets asiatiques sont pluriels, pour le plus grand bonheur des convives.
Au commencement, il y avait… la cuisine chinoise ! « La vague des restaurants chinois a démarré il y a une cinquantaine d’années », commente Bernard Boutboul, président Gira. « Il faut savoir qu’il y en a 9 500 sur le territoire français, ce qui est loin d’être négligeable. Ensuite, les restaurants japonais sont arrivés avec les sushis, les teppanyakis… Et la nouvelle street food qui déferle depuis peu est coréenne, thaïe, vietnamienne, une cuisine plébiscitée par les jeunes générations, car très instagrammable, très saine, très dynamique, très expérientielle. »
Chinoise, japonaise, coréenne… en tous cas, la cuisine asiatique séduit toujours plus de Français, rappelle Unilever Food
Solutions dans la 3e édition annuelle de son rapport Future Menus, qui met en lumière l’évolution des tendances culinaires : « Les saveurs asiatiques prennent le pas sur les traditions
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