Sur la Croisette, en lieu et place de la mythique plage 3.14 est venu s'installer un petit coin d'Amérique latine. Avec Copal Beach, Must Group, sous la direction de Julien Manival, du groupe Partouche et du tennisman Stan Wawrinka, fait ainsi durablement escale à Cannes. Cuisine créative, décor ad hoc et végétation luxuriante, Copal Beach promet une expérience de tous les sens. « J’ai voulu intégrer des objets de décoration d’artisans locaux de la région de Bahia en portant une vraie attention aux matériaux et aux tissus, précise Nicolas Salcedo, directeur artistique. Dès la descente des escaliers, la végétation est partout. Cactus, bougainvilliers colorés se mélangent ainsi aux banquettes de velours et aux matériaux naturels. Les façades sont enduites à la chaux rosée et les suspensions de piments colorés, les pots en terre cuite et les voiles légers finissent de planter le décor. Sur la plage, 160 transats aux couleurs chaudes invitent à la détente, tandis qu'un parfum d'encens envoûte le convive. C'est d'ailleurs de ce dernier que la plage tire son nom, le Copal étant un encens dont la résine aromatique provient de certains arbres d’Amérique centrale.
Côté carte
Pour faire voyager sur nos côtes cette énergie propre aux plus incroyables beach clubs d’Amérique latine, le choix de Juan Arbeláez s’est imposé comme une évidence, explique Romain Gaudré, directeur général Copal Beach. Son énergie et sa créativité viendront se conjuguer à ce décor inspiré d’ailleurs, une hacienda les pieds dans le sable. Pour Copal, le chef colombien a imaginé une cuisine généreuse et audacieuse, placée sous le signe de la créativité, aussi bien avec des recettes à déguster à table que de la finger food à commander depuis son transat. « Nous ne voulons pas que nos clients se rendent chez Copal uniquement pour consommer des cocktails ou des assiettes, commente Juan Arbeláez. Nous souhaitons qu’ils repartent avec des souvenirs, des moments gravés. Avec, parmi les recettes inédites de Copal Beach, un poulpe grillé au four à bois et servi entier, accompagné de sa sauce chimichurri, des ceviches tout en fraîcheur, mais aussi des tacos de maïs au shiitaké, au thon rouge, au bœuf cru… qui viennent enchanter les déjeuners ou les dîners de l’établissement, ouvert 330 jours par an. Un lieu qui vit aussi toute la journée : depuis peu, Copal Beach propose un nouveau brunch festif, sur fond de musique et de cooking show.
P.B-K
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