Sucré, la boulangerie-pâtisserie en première ligne

Tendances restauration

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Sucré, la boulangerie-pâtisserie en première ligne
Photos ©Garnier Studios

Pâtisseries traditionnelles, gâteaux de voyage…
La boulangerie-pâtisserie surfe avec brio sur l’envolée du secteur sucré. Parmi les acteurs du secteur, La Mie Câline bénéficie d’un savoir-faire pâtissier éprouvé qui explique en partie son succès.
Emilie Niel


 


Forte aujourd’hui de 240 points de vente en France, la Mie Câline est née en 1985 et compte 2 615 collaborateurs et 37,5 millions de clients par an. Ses points forts ? Une maîtrise technique plus que rodée qui contribue aujourd’hui encore à la réputation qualitative de l’enseigne. « Nous ne sommes pas sur de la vente additionnelle niveau desserts, il s’agit réellement d’une offre à part entière », explique Vincent Guittonneau, directeur marketing et communication. « Nous avons deux univers distincts : la viennoiserie et la pâtisserie, même si les viennoiseries (pain au chocolat, croissant au beurre AOP Charentes-Poitou, chausson aux pommes, croissant aux amandes) se consomment aussi fréquemment comme dessert. Nous proposons également des cinnamon rolls, « crookiz », donuts, mais notre leader reste le cookie : nous en vendons un nombre colossal, 18 millions par an ! Tous sont carrés, qu’il s’agisse des minis, des originaux ou des super. Cela remonte à plus de 25 ans, lorsque nous avons tenté de couper la pâte sous cette forme novatrice. Nous avons aussi des muffins (choco noisette beurre salé & fruits rouges) qui, sans l’ancienneté dont nous jouissons sur les cookies,


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