La sélection d’infos de Mai 2024

La sélection d’infos de Mai 2024
Zeffirino DR

Areas France intègre l’enseigne Le Pain Quotidien


Le Pain Quotidien arrive sur le marché du travel retail français ! Déjà présente à l’aéroport de Bruxelles, en Argentine ou encore au Mexique, l’enseigne belge a en effet été choisie par Areas France, qui opère depuis le mois de mai le concept dans


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son format « kiosque » à Paris gare de l’Est. « C’est une grande fierté et un sincère plaisir pour Areas France d’annoncer cette nouvelle collaboration avec une enseigne qui répond à nos exigences de qualité, dont les méthodes et l’esprit correspondent aux valeurs d’innovation, d’agilité, et d’esprit d’entreprise d’Areas », commente Yves Lacheret, directeur général d’Areas France. Cette alliance vise à répondre à une demande croissante des voyageurs en quête d’options alimentaires saines et variées, grâce à une enseigne désormais référente en matière de restauration healthy et privilégiant des ingrédients naturels, frais et de saison. Côté recettes, les voyageurs peuvent notamment avoir accès à des produits tels que le Dagobert, un généreux sandwich au gouda, œuf, tomates et laitue, ou encore le Croffle, un croissant jambon-emmental toasté dans un gaufrier. À cela s’ajoute une sélection de boissons chaudes bio, viennoiseries, tartines et sandwiches, le tout préparé avec du levain bio. Des recettes végétariennes et véganes sont également disponibles. À noter qu’un second point de vente en format « service à table » ouvrira ses portes courant 2025 dans une autre gare parisienne.


D.B.


 


 


Cap sur un restaurant de plage pour Panorama Group


Après le rooftop Bocca Nissa (cours Saleya), Panorama Group ouvre une seconde adresse niçoise baptisée Bocca Mar. Le restaurant de plage de 300 couverts a investi la célèbre promenade des Anglais sur l’initiative de Jean Valfort, associé


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depuis 9 ans à Jean-François Monfort et Charles Drouhaut du Panorama Group.
Une cuisine de partage méditerranéenne fraîche et colorée y est proposée, rendant hommage à la richesse du terroir : croquetas ibériques, carpaccio de bar, poulpe grillé à la gallega ou côte de bœuf à la plancha (11€-32€) se savourent face à la baie des Anges, avant un tiramisu ou une tarte au citron déstructurée (desserts 9€-12€).
« La plage de la promenade des Anglais a trop longtemps été boudée par les Niçois, explique Jean Valfort. Une offre différente s’y crée depuis peu, qui attire une nouvelle clientèle face à la mer. Il était important pour nous de faire partie de ce mouvement et de créer une offre unique sur les galets. » Ouvert à l’année pour les services du petit-déjeuner, Bocca Mar sert ainsi déjeuners (mi-octobre à mi-mai), apéritifs et dîners (mi-mai à mi-octobre). Des soirées festives sont également organisées de juin à août, en présence d’un DJ du jeudi au dimanche, et pas moins de 180 transats sont disponibles à la location.


E.N.


 


 


La Terraza Mikuna investit le 6e étage du BHV Marais


Programmation artistique latine, street-food pointue et décoration aux accents sud-américains : Mikuna s’installe au BHV


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Marais avec une terrasse estivale ouverte tout l’été. Tacos, empanadas, guacamole et tapas à partager s’accompagnent ici de vins d’Amérique latine, de bières péruviennes mais surtout d’une carte de cocktails signatures soigneusement mis au point à partir de pisco, de tequila ou de Chandon Garden Spritz (Moët Hennessy -LVMH) au macérat d’extraits naturels d’écorces d’oranges, herbes et épices. Ouverte tous les jours de 17h30 à 2h depuis le mois de mai 2024, la Terraza Mikuna s’annonce comme la terrasse perchée la plus festive de la capitale. Cette ouverture marque également le développement de l’enseigne créée en 2019 par Amaury Dumont et Thomas Ferdant, comptant 7 points de vente à ce jour – dont 4 en collaboration avec Paris Society en saison estivale – et une offre traiteur.


E.N.


 


 


Les recettes de Paris 2024 dévoilées


Installé au sein du Village olympique et paralympique, Sodexo Live! ouvrira le 12 juillet prochain le plus grand restaurant du monde. Doté de 3 500 places, il verra défiler du petit-déjeuner au dîner quelque 15 000 sportifs sur l’ensemble de l’événement. Afin de permettre aux participants de retrouver leurs habitudes alimentaires, le lieu sera divisé en quatre


© Franck Beloncle


grands pôles : France, Asie, Afrique-Caraïbes et cuisines du monde.
Sous la houlette de Charles Guilloy, chef exécutif Sodexo Live!, plus de 500 recettes ont été conçues afin d’être proposées au cours des 6 semaines de compétition. Chacune doit répondre aux enjeux nutritionnels et aux attentes des sportifs, tout en valorisant les savoir-faire français et proposant des plats gourmands. « Les besoins nutritionnels des athlètes sont différents selon les temps de compétition. Nous avons collaboré avec des nutritionnistes et la commission des Athlètes de Paris 2024 pour l’élaboration des menus », souligne Carole Galissant, directrice transition alimentaire et nutrition chez Sodexo Live!. Bourguignon végétarien, porc haché au basilic thaï ou encore crevettes sautées et chermoula font ainsi partie des mets élaborés pour les athlètes.


Food-court olympique
Situé entre le restaurant et l’entrée du village, le Grab&Go XXL accueillera quant à lui un atelier dégustation animé par Charles Guilloy et Stéphane Chicheri, chefs exécutifs Sodexo Live!, accompagnés d’Amandine Chaignot (Pouliche), Akrame Benallal (Akrame*) et Alexandre Mazzia (AM***). Les athlètes les plus gourmets pourront déguster différentes recettes signatures en édition limitée (600 plats/jour). Amandine Chaignot proposera par exemple un croissant œuf poché, crème d’artichaut, tomme et truffe. « Cela fait partie des premières choses que l’on veut manger en arrivant à Paris, explique la cheffe. Le défi était de l’adapter aux besoins des sportifs. »
Côté spectateurs, le site de la Concorde proposera – pour la première fois dans l’histoire des Jeux olympiques – une offre de restauration 100% végétale. L’objectif poursuivi est la transformation des habitudes alimentaires du grand public, afin de tendre vers un modèle plus durable lors d’événements semblables. Sur l’ensemble des sites, 60% de l’offre grand public sera végétarienne. Best-seller des événements sportifs, une version veggie du hot-dog sera notamment mise en valeur. Cette présence accrue de végétal s’inscrit dans l’objectif global de Paris 2024, visant à réduire de moitié l’empreinte carbone des repas. Une politique d’achat responsable et de proximité, et un plan de lutte contre le gaspillage alimentaire ont notamment été instaurés. De plus, la vaisselle sera 100% réutilisable, fait inédit dans l’histoire des Jeux.


T.T.


 


 


Volfoni arrive à Lyon !


D’ici quelques semaines, Volfoni ouvrira son 23e établissement français et le premier à Lyon. Il sera situé sur


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l’emblématique place Bellecour et remplacera l’ancienne Pizza Pino, fermée depuis le mois de mars. Là, l’enseigne du groupe Bertrand déclinera une carte saisonnière changeant 4 fois par an et imaginée par la cheffe italienne Luana Belmondo. Le tout dans une ambiance inspirée des trattorias typiques et de la dolce vita des années 1950. « Volfoni fait partie de cette nouvelle génération de restaurants italiens à la décoration immersive et soignée avec une carte réunissant des produits sourcés directement en Italie », résume Vincent Berthet, directeur général de la marque. Cette ouverture lyonnaise illustre les ambitions de développement du groupe, qui prévoit 15 ouvertures en franchises et succursales d’ici la fin de l’année, avec l’objectif d’atteindre 100 unités dans l’Hexagone d’ici 2027.


D.B.


 


 


Une cuisine canaille et terroir au Comptoir de Crème


Le 30 mai 2024 ouvrait Le Comptoir de Crème dans le 18e arrondissement de Paris, rue Versigny. Petit frère de la table


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bistronomique Crème située rue Eugène-Sue (75018) lancée en 2021 par Camille Coiffard et Maxime Guillemet, le restaurant dévoile une cuisine 100% maison canaille et de partage. Les produits du terroir et vins de qualité (natures, en biodynamie) s’y dégustent en musique, sur une table haute, au bar ou à l’extérieur – Le Comptoir de Crème disposant d’une terrasse d’une trentaine de couverts. Croque-campagne, charcuterie, arancini, burrata et mousse au chocolat : l’établissement confirme un véritable retour de flamme pour des saveurs simples et une cuisine bien faite, plébiscitées par une clientèle parisienne également attentive au service soigné et à l’ambiance chaleureuse de l’adresse.


E.N.


 


 


Boulogne-Billancourt accueille la brasserie Amalthée


L’Ouest parisien compte depuis début mai une nouvelle table baptisée Amalthée. L’établissement tire son nom de la


© Romain Ricard


mythologie grecque, Amalthée désignant la femme qui aurait été la nourrice de Zeus. À la tête de cette brasserie contemporaine ouverte en continu, Alexandre Chapon et son neveu – et désormais associé – Maxime Thévenin. Dirigeant des tables parisiennes pendant près de 25 ans, dont les Caves Saint-Gilles ou encore aujourd’hui la brasserie de charme Chez Julien (Paris 4e), Alexandre Chapon souhaitait revenir dans sa ville natale. « C’était le bon moment pour offrir à ma ville ce que je sais faire de mieux : un restaurant qui réunisse, régale, et qui n’ait pas d’autres ambitions que de rendre heureux », déclare l’intéressé. David Charrier, ex-chef du Square Trousseau, et Helmi Derbal, fidèle chef de Chez Julien, signent une carte gourmande et généreuse. En entrée, moules gratinées et tartare de thon rouge se dégustent suivis du filet de bœuf au poivre ou des côtelettes d’agneau à la plancha. Le poulet rôti truffé ainsi que le bar en croûte de sel sont quant à eux disponibles pour 2 personnes. Le repas s’achève sur les fromages affinés de la Mère Richard, ou sur les classiques profiteroles et pavlova fruits rouges.


T.T.


 


 


The French Bastards ouvre son capital a ECP


Le fonds d’investissement Experienced Capital annonce sa prise de participation dans les boulangeries The French Bastards. En devenant le deuxième actionnaire de la marque avec près de 30% du capital, derrière les fondateurs qui


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restent majoritaires, ECP se positionne sur un nouveau segment de la consommation premium, avec un premier investissement dans le secteur de la boulangerie-pâtisserie. Avec cette nouvelle prise de participation, ECP poursuit sa stratégie d’investissement en accompagnant des marques premium et à fort potentiel, qui bousculent les codes de la consommation à travers une démarche originale et l’audace d’innover. Emmanuel Pradère, président et cofondateur d’Experienced Capital, déclare : « Nous soutenons les entrepreneurs et les marques qui influencent l’avenir de leur industrie. Nous sommes convaincus que The French Bastards dispose d’un potentiel important pour contribuer à transformer durablement le paysage de la boulangerie-pâtisserie. » À ce jour, l’entreprise lancée en 2018 comptabilise sept boulangeries réparties entre Paris et Lille, et espère, à moyen terme, se développer dans toute la France mais également à l’international.


T.T.


 


 


L’institution génoise Zeffirino débarque à Paris et Monaco


Ouverte en 1939 dans le nord de l’Italie, l’institution génoise Zeffirino ouvrait ses portes à Paris et Monaco au début du mois de juin. Fondée par Zeffirino Belloni, la Maison est aujourd’hui menée par la troisième génération de la famille, Marco Belloni en tête. C’est le restaurateur monégasque Riccardo Giraudi qui a souhaité transposer l’institution


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transalpine et ses recettes emblématiques dans ses villes de cœur : Paris et Monaco. Génois d’origine, il a convaincu la famille Belloni d’étendre son héritage au-delà des frontières italiennes. L’adresse parisienne a vu le jour au 9 rue Marbeuf, dans le 8e arrondissement. Riccardo Giraudi s’est ici associé à Mehdi Abdelhedi, fondateur des restaurants italiens César et Siéna. Au menu de ces tables, l’emblématique pesto de la famille Belloni. Thierry Paludetto, chef exécutif du groupe, s’est inspiré des recettes stars de la famille pour créer une carte contemporaine et créative : Paffutelli alla Frank (plat de ravioli avec une sauce crémeuse au basilic et noix, créé à l’époque pour Frank Sinatra), Focaccia di Recco, Branzino al Sale, ou encore Torta Mimosa di Zeffirino. Le design de l’établissement parisien a été confié au MOF Peinture-Décoration 2013 Cédric Capron. Une atmosphère digne d’un décor de cinéma où meubles sur mesure, boiseries et marbre Cipolino Verde nous plongent dans l’Italie des Années folles.


T.T.


 


 


Une 2e adresse parisienne pour Manhattn’s Burgers


Plus de deux ans après le lancement d’un premier établissement français situé rue Montorgueil à Paris, l’enseigne belge Manhattn’s Burgers a ouvert le 26 avril son deuxième restaurant parisien, à deux pas de Beaubourg. Au menu : 9 burgers inspirés des recettes new-yorkaises grillées à la flamme, proposés entre 12€ et 14,90€. Les suggestions carnivores sont composées de pain brioché frais du jour, de viande de bœuf certifiée Irish Angus ou de poulet grillé et de fromage AOC.


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Une option végétarienne est aussi disponible avec le « Brooklyn Falafel Burger » ainsi qu’une offre pour les enfants (le « Central Park Kid’s Burger »).
Tous les burgers peuvent être consommés seuls ou intégrés à une formule déjeuner à 18,90€ comprenant également des frites fraîches et une boisson. La carte décline aussi une large gamme de bières artisanales en bouteille ou en pression.


Entre brasserie et fast-food
Le tout prend place dans un concept hybride, à la croisée de la brasserie et du fast-food. En effet, les plats ne sont pas servis à table mais commandés au comptoir et les clients se lèvent pour récupérer leur commande à l’appel du buzzer. L’ambiance, elle, se veut « friendly », reprenant les codes du service à l’américaine. La décoration n’est pas non plus laissée au hasard. Aux couleurs de New York, le cadre mêle ainsi des touches de jaune évoquant les taxis de la ville ou encore des néons en forme d’Empire State Building, posés sur des murs de briques rouges. Lancée en 2014 par les frères Vandermeulen, l’enseigne Manhattn’s Burgers compte, outre ses 2 restaurants français, 8 unités en Belgique.


D.B. & M.B.


 


 


Roadside change de mains


Luc Laurent, fondateur de l’enseigne de burgers Roadside, vient de transmettre le réseau, composé de 2 succursales et 9 franchises dans le Grand Ouest, à de nouveaux dirigeants : Nicolas Boyer et Vincent Bobet. « Créer un concept et le développer sont 2 métiers différents, confie ce dernier. Dans l’intérêt du réseau et des consommateurs qui veulent plus de


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local, plus de sens, plus d’écologie, j’ai décidé de céder Roadside à des repreneurs ayant l’envie de le développer à plus grande échelle. » Après un développement maîtrisé dans la région, une nouvelle ère commence pour Roadside. L’ambition des repreneurs est d’accélérer la croissance du réseau afin d’atteindre les 50 points de vente d’ici 2030. Amis depuis une quinzaine d’années, Vincent Bobet et Nicolas Boyer ont décidé d’unir leurs compétences et de racheter une PME avec un projet de croissance. Séduit par le projet, le fonds Picardie Investissement a choisi d’accompagner les deux hommes afin de leur donner les moyens de leurs ambitions. « Le positionnement de Roadside permet de rendre accessible une offre alternative aux grands acteurs de la restauration rapide, déclare Vincent Bobet. Ce concept a trouvé sa clientèle au travers des différents formats existants (centre-ville et périphérie) et notamment dans les villes moyennes françaises où les acteurs traditionnels sont moins concurrencés. » Luc Laurent accompagnera les repreneurs durant les premiers mois pour leur assurer la meilleure prise en main possible du réseau. Convaincu du potentiel de Roadside, il en reste actionnaire minoritaire.


T.T.


 


 


Le groupe Delineo met le turbo sur la franchise


Leader de la restauration rapide en travel retail, le groupe Delineo et ses enseignes La Croissanterie, Maison Pradier et Roberta Caffè déploient une stratégie de recrutement de franchisés indépendants. Après une année 2023 encourageante, l’entreprise fondée en 1993 espère désormais étendre son réseau et ouvrir de nouveaux points de vente en centres-villes.


© Scopus


Avec plus de 200 points de vente en France, La Croissanterie vise aujourd’hui un déploiement dans les villes moyennes. Plus récentes et positionnées sur des segments de marché premium, les enseignes Maison Pradier et Roberta Caffè visent quant à elles un déploiement dans les centres urbains. Roberta Caffè a inauguré en janvier dernier son premier restaurant franchisé à Bordeaux, soulignant l’engagement de Delineo à étendre son empreinte au cœur des villes. « Depuis 2021, nous avons revu tous les fondamentaux de chacune de nos enseignes, commente Franck Malinowski, PDG du groupe. Nous sommes désormais parfaitement organisés pour accélérer notre déploiement en centres-villes en accompagnant pas-à-pas les candidats à la franchise. » Au total, 32 ouvertures sont d’ores et déjà programmées en 2024. La Croissanterie étendra son réseau de 16 nouveaux points de vente, Maison Pradier ouvrira 12 nouvelles adresses tandis que Roberta Caffè accueillera 4 nouvelles unités.


T.T.


 


 


UMÉ, brasserie franco-nipponne par Charles Coulombeau


Originaire de Normandie et aujourd’hui installé à Nancy (Meurthe-et-Moselle), Charles Coulombeau ouvrira le 5 juin prochain une nouvelle table gastronomique à Metz (Moselle), au sein du Centre Pompidou. Une double ouverture puisque


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le chef étoilé s’apprête également à inaugurer une brasserie franco-japonaise, toujours dans le centre culturel messin. Baptisé UMÉ, ce nouvel écrin tire son nom de l’emblématique prune japonaise éponyme mais est également un hommage à la région d’adoption du chef, la Lorraine, célèbre pour ses mirabelles. Dans un esprit de brasserie contemporaine, Charles Coulombeau revisite des plats traditionnels français à la sauce nipponne. En entrée, l’œuf parfait noisette, choufleur et karachi côtoie le sashimi de dorade accompagné de maïs et d’une soupe ajo blanco. Servis avec une sélection de garnitures à partager, les plats sont proposés à des prix variant de 14,50 à 17,50€. Le filet de bœuf, truffe et foie gras est quant à lui affiché à 42€. Côté desserts, la carte est composée de classiques indémodables twistés d’une touche japonaise, à l’image de l’île flottante matcha-orange. Plusieurs options végétariennes et véganes sont disponibles tout au long du repas. Situé en plein cœur du Centre Pompidou-Metz, UMÉ sera exclusivement ouvert au déjeuner, du mercredi au dimanche.


T.T.


 


 


Au Relais Bernard Loiseau, printemps rime avec nouveautés


Déménagement et changement de nom pour Loiseau des Sens. Anciennement situé au-dessus du spa du Relais Bernard


© Jonathan Thevenet


Loiseau, le bistrot de Saulieu a pris ses quartiers au sein de la Tour d’Auxois et accueille depuis le 26 avril ses convives sous une nouvelle identité : Loiseau du Morvan. Désormais niché au cœur d’une demeure de caractère transformée en hôtel de charme 3 étoiles, le restaurant dispose d’une salle conçue sous forme de rotonde et célèbre un ancrage typiquement bourguignon. Au menu : une cuisine du marché locale, accessible et conviviale mettant à l’honneur le terroir et les classiques régionaux, à l’image des Œufs en meurette ou de la Volaille Gaston Gérard. Des vins au verre et un chariot de desserts signé par la pâtisserie de La Côte d’Or complètent


© Jonathan Thevenet


l’offre. La boutique du Relais Bernard Loiseau, quant à elle, s’est parée d’une extension dédiée à la vente de chocolats et pâtisseries. Toutes les créations ont été imaginées par Lucile Vigilant, qui a revu l’ensemble de la gamme de chocolats, travaillé sur 12 différentes tablettes et ajouté de nouvelles propositions telles que les mendiants, l’Ours Blanc de Pompon ou encore les pâtes de fruits. Évoluant au fil de l’année, la gamme est travaillée en étroite collaboration avec les producteurs locaux, tandis que les pâtisseries s’inspirent directement du chariot de desserts des bistrots du groupe.


M.B.


 


 


Majorian prend une participation dans Ecotable


Dédiée aux hôteliers-restaurateurs indépendants, la plateforme de services Majorian annonçait mi-mai une prise de participation minoritaire dans la société Ecotable. « Grâce à cet investissement de Majorian, Ecotable pourra étendre son impact et renforcer son engagement envers une restauration durable, déclare Fanny Giansetto, cofondatrice d’Ecotable qui, en complément de son activité de conseil, récompense les établissements écoresponsables par l’attribution d’un label. Ensemble, nous pouvons contribuer à la transformation du secteur et faire du respect de l’environnement une norme, pas une exception. » « Ce rapprochement avec Ecotable reflète notre engagement profond à soutenir des solutions qui renforcent la durabilité dans l’hospitalité », ajoute Xavier Alberti, président de Majorian. Cette opération stratégique doit permettre à la plateforme de contribuer à la croissance de l’activité d’Ecotable en faisant la promotion de sa solution auprès de ses clients. Une offre dédiée aux professionnels souhaitant s’engager vers une alimentation durable sera également développée conjointement.


M.B.


 


 


Un nouveau bar à tapas à Paris


Le 24 mai, le 16e arrondissement parisien célébrait l’ouverture d’une nouvelle adresse signée Moma Group : Casa Luisa.


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Situé au sein de l’ancienne gare de La Muette, ce bar à tapas décline une carte imaginée par le chef étoilé Romain Fornell, également créateur d’une quinzaine d’établissements à Barcelone et sur la Costa Brava. Au menu : une offre ancrée dans l’authenticité et la tradition, entre croquettes de jambon ibérique, tortilla de patatas revisitée, poulpe grillé à la galicienne ou encore tartare de thon rouge. À découvrir également : les crevettes de Palamos ou le bœuf à l’ail saisis à la plancha, ou encore les bocadillos, signature de la maison, fourrés au crabe, bœuf ou comté. « Les tapas peuvent être riches en matières grasses et en calories, mais elles peuvent aussi être préparées de manière plus légère en privilégiant les cuissons saines et en utilisant des ingrédients frais et équilibrés », commente le chef. La carte des douceurs vogue quant à elle entre Catalogne et Castille, mêlant flan à la vanille (« con crema ») ou crème brûlée et sa « Barcelonaise » à partager, parfumée à la fleur d’oranger. Accompagnés de bons vins, ces plats à partager sont servis dans un cadre fait d’objets chinés, conçu par Mary Erlingsen (Studio Björg). Cette dernière a conservé le cachet du bâtiment historique tout en restituant la chaleur propre à l’Espagne.


M.B.


 


 


Martin, nouveau bistrot du Domaine de Primard


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Le Domaine de Primard (Guainville – Eure-et-Loir) célèbre le printemps avec un nouveau projet. Anciennement Octave, le bistrot installé le long du verger devient Martin, dirigé par le chef Géraud Dupuis. Après un parcours au sein de plusieurs établissements étoilés comme L’Auberge de Père Bise ou le Domaine de Fontenille, il s’installe à Primard pour proposer une cuisine conviviale prônant les circuits courts et les produits du terroir. Sa carte printanière met à l’honneur des produits de saison comme les asperges. Le tout en un menu déjeuner entrée-plat à 32€ ou en formule complète à 42€. Un menu enfant est également suggéré.


D.B.


 


 


Le Palais combine lieu de travail, loisirs et restauration


L’ancien Palais des Congrès de Nancy ouvrira ses portes en juin, après trois ans de travaux d’ampleur. Situé à quelques pas


© superbrand


de la gare, ce nouvel espace polyvalent de 4 500 m² a été transformé par le groupe familial Deromedi. Rebaptisé « Le Palais », il se présente désormais comme un lieu de vie hybride, réparti sur quatre étages. Les 1800 m² du sous-sol et du 1er étage sont dédiés aux loisirs, tandis que le rez-de-chaussée accueille un vaste food court, avec une capacité d’accueil de 250 personnes à l’intérieur et 60 en terrasse.
Il propose cinq espaces de restauration dont une pizzeria, un stand de bioburgers, des sandwichs et un bar dédié à la bière artisanale. Les commandes peuvent être passées depuis les autres étages grâce à un système de tablettes connectées, et pourront être consommées sur place, à emporter, en livraison ou à récupérer en click & collect.
Le 2e étage est consacré au « Palais work », un espace de coworking moderne de 900 m² comprenant un open space, des bureaux, plusieurs salles de réunion et un rooftop. Des événements réguliers tels que des diffusions de matchs, des soirées à thème et des spectacles animeront tout au long de l’année ce lieu ouvert tous les jours et ayant permis la création d’une soixantaine d’emplois locaux.


D.B.


 


 


Paul réélu marque préférée des Français pour la 3e année consécutive


Alors qu’elle célèbre cette année son 135e anniversaire, l’entreprise fondée en 1889 vient d’être confirmée « Marque préférée des Français » dans la catégorie « sandwich et restauration rapide à la française ». Paul conserve ainsi son titre


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décroché il y a 2 ans.
« Dans un marché à la fois créatif et en pleine évolution, occuper une telle place dans le cœur des Français nous touche particulièrement », se réjouit Maxime Holder, directeur général du Groupe Holder, organisation mère de l’entreprise.
Présent à l’international depuis plus de 30 ans, Paul compte aujourd’hui plus de 400 magasins répartis à travers une cinquantaine de pays. Cette année a d’ailleurs vu l’ouverture du 43e Paul Le Café, avec trois implantations consécutives dans de nouveaux pays : Canada, Inde et Arménie. En ce qui concerne la France, plusieurs établissements sont en cours de


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construction, tandis que l’enseigne a inauguré le 22 mai dernier un troisième kiosque (franchisé Areas) au sein de la gare Montparnasse (Paris 15e).
Le succès de la marque s’explique en partie par sa capacité d’adaptation aux différentes cultures des pays au sein desquels elle est implantée, tout en maintenant un socle de produits typiquement français. « Au même titre que le croissant ou la baguette, notre restauration boulangère fait partie de l’art de vivre à la française. Sandwich-baguette, quiche lorraine, croque-monsieur ou crêpes garnies, ce snacking est très apprécié dans le monde entier, en version originale ou légèrement adaptée », précise Maxime Holder.


T.T.


 


 


La Belle Tablée, nouvelle guinguette éphémère


Fort du succès de sa première table éphémère baptisée Court-Bouillon, le chef itinérant Jean Covillault rempile avec une


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adresse estivale : La Belle Tablée. Située au 11 quai Montebello (Paris 5e), sur la péniche La Terrasse Notre-Dame – L’Equité et à quelques pas de la cathédrale Notre-Dame, cette guinguette accueillera ses convives à compter du 4 juin et jusqu’à la mi-juillet.
Ce lieu à la décoration moderne s’ouvre sur de grandes tables où sont servies des entrées composées de planches mêlant crudités de saison, charcuterie française et beurre aromatisé à tartiner. Côté plats, les grillades estivales sont à l’honneur, avec un choix de viandes (poulet mariné, porc ou bœuf) et une alternative végétarienne (« halloumi-champi »), accompagnées d’un choix de salades fraîches et gourmandes (pommes de terre, tomates ou encore salade de riz).
Pour terminer, le plateau de fromages se partage, avant l’arrivée du chariot de desserts proposant par exemple un financier pêche-amande, une tarte sablé breton et fraises, un gâteau au chocolat ou encore une salade de fruits de saison.


D.B.


 


 


Développements : Peppe Pizzeria, Pitaya, Bao Family...


Les enseignes de restauration continuent d’essaimer dans l’Hexagone. Voici notre sélection d’ouvertures.


• Plus connu sous le nom de Peppe, Giuseppe Cutraro, champion du monde de pizza 2019, a inauguré le 13 avril dernier la Pizzeria Peppe Étienne Marcel, dans le 1er arrondissement parisien. Dotée de 55 places à l’intérieur et d’une cinquantaine en terrasse, elle propose les grands classiques qui ont fait la renommée de son chef, à l’instar des antipasti à partager et pizzas Margherita ou Campione del Mundo (tomates jaunes, jambon cru, provolone, mozzarella di bufala, amandes grillées et confiture de figues bio). Il s’agit du 4e établissement ouvert par Peppe dans Paris intra-muros, et du 6e en Île-de-France.


• Nouvelle ouverture parisienne pour Pitaya. L’enseigne leader de la street-food thaïe a inauguré le 24 avril dernier un point de vente situé à proximité de la place de Clichy (Paris 9e). Un emplacement stratégique au croisement de quatre arrondissements parisiens, notamment desservi par la ligne de métro 13, l’une des plus fréquentées de la capitale. Ce nouvel établissement réparti sur deux étages compte 88 places assises et 18 en extérieur.


• Le groupe de restaurants chinois Bao Family s’exporte en dehors de la capitale et pose ses valises à Marseille, dans le quartier Noailles, en lieu et place de l’institution phocéenne Toinou. Céline Chung et Billy Pham, fondateurs de l’enseigne, ont vu les choses en grand avec ce nouvel établissement réparti sur 3 étages. Côté cuisine, l’ensemble des régions chinoises seront à l’honneur, avec entre autres le Baozi, fameuse brioche fourrée à la vapeur, ainsi que les classiques de la rôtisserie chinoise : porc charsiu, poulet laqué et « têtes de lion » (boulettes de porc et crevettes).


• La chaîne de restaurants fast-casual Chipotle Mexican Grill ouvrait le 3 mai dernier un nouveau restaurant dans le centre commercial Westfield Vélizy 2 (78). Burritos, bowls, salades et autres quesadillas sont proposés dans un espace de 235 m2. Ouvert 7j/7 de 11h à 23h, ce nouvel établissement est le 7e du groupe en France.


Lady Sushi arrive à Strasbourg. Implanté au cœur du centre-ville, ce premier point de vente dans la capitale alsacienne s’inscrit dans une démarche de proximité. Conçu dans un esprit moderne et épuré, il accueille les amateurs de sushis sur place et propose également la vente à emporter et un service de livraison.


T.T.


 


 


QUOI DE NEUF CÔTÉ CARTES ?


Fraîcheur et gourmandise sont au menu des nouvelles propositions imaginées par les enseignes de restauration.


Homer Lobster réinterprète un grand classique : le club sandwich. Plusieurs déclinaisons s’ajoutent à la carte des établissements de Moïse Sfez, fondateur du groupe. Les versions saumon et crevette sont accompagnées d’avocat, de tomates et d’herbes fraîches. Le Lobster Club Sandwich est quant à lui garni d’un mix homard/écrevisse, œufs mollets, avocat et herbes fraîches. Une création mêlant caviar, saumon et homard est également disponible.


Pizza Cosy dévoile ses recettes printanières. Plusieurs pizzas s’ajoutent aux classiques déjà proposées, à l’image de la « Cœur d’asperge » (crème d’asperge, mozzarella fior di latte, jambon blanc, œuf et préparation de truffes d’été et champignons), la « Cupidon » (burrata, tomates cerises, jambon de Bayonne IGP, roquette et pesto), ainsi que la pizza végétarienne « Soleil » (sauce tomate jaune, tomates cerises, olives, provola, roquette et origan). L’enseigne lance également une toute nouvelle offre apéritive avec cocktails, bières et antipasti à partager.


• De leur côté, les brasseries Léon célèbrent elles aussi le retour des beaux jours. La carte fait la part belle aux poissons et fruits de mer avec l’arrivée des burgers « Fish Chèvre » et « Saumon fromage frais ». Plusieurs recettes de moules font


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également leur apparition, tout comme les Fish & Chips églefin, thon et même crispy aubergine pour les végétariens.


• Même son de cloche pour Hippopotamus, où les entrées estivales font leur retour à travers l’œuf poché au chorizo et la salade burrata tomates. La gamme des crus s’agrandit avec trois nouveaux carpaccios de bœuf (burrata, méditerranéen et chèvre). La carte des desserts fait elle aussi le plein de gourmandises avec le croissant roll citron ou la pavlova fruits rouges.


• À quelques semaines de son cinquantième anniversaire, La Boucherie Restaurant présente ses nouveautés et en profite pour dévoiler un logo inédit. Outre les habituelles salades et grillades, les amoureux de viande pourront déguster la « Crulogie de bœuf », triptyque composé d’un tartare préparé au couteau, d’un carpaccio au basilic et d’un mi-cuit de bœuf. Le « Fuego Fresco », burger chaud/froid composé d’un steak, de burrata crémeuse, houmous d’avocat, mayonnaise épicée, tomate et roquette fait lui aussi son entrée à la carte.


Courtepaille présente également sa carte printemps/été. L’ensemble de la gamme a été retravaillé avec un nouveau sourcing des produits. Petites entrées colorées, salades, tartines végétariennes ou encore cocottes aux saveurs méditerranéennes sont désormais au menu. En complément du tomahawk, la carte des pièces d’exception s’enrichit avec un magret de canard et une andouillette Bernaudeau tirée à la ficelle.


Colombus Café surfe sur la tendance du « bubble tea » et lance deux nouvelles recettes : le Bubble Coffee, un café latte glacé agrémenté de sirop de caramel et de perles « bubble » chocolatées, ainsi que le Festi Muffin et son cœur fondant au caramel, coulis de chocolat et billes croustillantes de chocolat noir et blanc. Ces créations inédites sont disponibles en édition limitée depuis le 16 avril dans les 250 points de vente de l’enseigne.


• Les boulangeries Ange lancent une nouvelle gamme de pâtisseries individuelles. Parmi elles, la meringue spéculoos caramel, l’éclair façon Paris-Brest ou encore le Saint-Honoré. La marque présente également sa nouvelle carte aux accents latinos, disponible depuis le 10 avril, et notamment composée de sandwiches épicés et de tacos. Côté desserts, les fruits exotiques sont à l’honneur avec le tiramisu chocolat-banane ou la tartelette mangue, passion et coco.


T.T.