Place au Bistrot Alexandre III, véritable bijou d’architecture flottant étendu sur 38 mètres de long et 5 mètres de large, situé sur la Promenade des Berges de Seine, aux pieds du Pont Alexandre III.
Premier bistrot parisien posé sur la Seine, ce nouveau lieu imaginé par Sandra Kombouaré, Daniel Bessaha, Stéphane Billy, Lucas Tozatto et Ryunosuke Maito, également né de la complicité de la Mairie de Paris et de la direction des Ports Autonomes de la capitale, propose une nouvelle expérience à la fois visuelle et gustative aux amoureux de la cuisine terroir contemporaine.
Tout de bois, de verre et d’étain, avec son toit de zinc et son comptoir de 20 mètres, ce bistrot flottant a nécessité l’investissement de 3 millions d’euros de ses 5 fondateurs, ainsi que les conseils avisés de l’architecte Iglal Boulad pour voir le jour.
Un endroit convivial et chaleureux, à l’image de la cuisine du chef Ryunosuke Naito. Originaire de Nagano au Japon, ce trentenaire est passé par les plus belles maisons (Taillevent, Antoine, Meurice, Cheval Blanc à Courchevel) avant de collaborer avec Alain Ducasse durant 6 mois et de découvrir le Comptoir aux côtés d’Yves Camdeborde.
Aujourd’hui au Bistrot Alexandre III, il propose une restauration aux saveurs terroir, twistée de cette fantaisie nippone tant appréciée des gourmets d’aujourd’hui : Bonite juste saisie, betteraves crues et cuites, vinaigrette à l’hibiscus ; Volaille fermière en deux cuissons et son jus, salade romaine étuvée et sa sauce langoustine ; farandole de pâtisseries, de crêpes, galettes et glaces, brunch le samedi et le dimanche… Puis le soir, honneur aux petits plats à partager (burger au boeuf d’Hugo Desnoyer, pain Jean Luc Poujauran), friture de chipirons à la sauce raifort et salade croquante aux pommes vertes, rillettes maison… Le tout accompagné d’une sélection de vins signée Jean-Christophe Picquet, ancien sommelier de chez Taillevent.
Un sympathique établissement qui devrait rapidement devenir le rendez-vous incontournable des gourmets chics et esthètes parisiens cet été… et à l’année.
